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Ilang Sansa
Les squelettes de son placard
❝set them on fire !
Ilang Sansa
tel un warrior j'ai débarqué le : 08/12/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 379
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4234 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : plus que dispo.
et l'actuelle je la dois à : avatar : ivy/chanus. signa : petulia.
en rp j'suis le sosie de : lee chae rin (CL, 2NE1).
On me connait en tant que : neir (nom de scène).
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 18 ans.
Mais j'en ai déjà vécu des choses : fiche de présentation
mes journées sont bien remplies : étudiante, mais à mi-temps seulement, voir moins : membre du groupe dmc, et entre les heures passées en studio et celles passées sur scène il faut souvent gagner du temps sur autre chose, sans compter qu'elle se produit très régulièrement en tant que dj ; que voulez-vous, voilà où mène l'amour des platines.
avis aux stalkeurs : www. l'amoureuse. (seolchan)
www. l'apprentie voleuse. (event)
www. la diva. (anya)
www. l'aguicheuse. (yi feng)
www. la mafieuse. (keiko)

(+) hyodae & la future tranche d'ananas & saehwan. checke ma to do list : ☑️ résister aux tentations des pilules multicolores ☐ trouver le temps de passer toute une journée allongée à ne rien faire ☐ bosser plus sérieusement sur ces putain de paroles qui ne ressemblent à rien pour le moment ☐ manger. un repas par jour est un minimum, à ce qu'il parait ☑️ dire à jun que je l'aime jusqu'à ce qu'il menace de me tuer ☐ élargir le cercle social (il semblerait malheureusement que je fasse toujours aussi peur.)
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Je suis unique
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coke bottle
I GOT DOLLARS, COULD YOU IMAGINE ? I SEE YOU'RE LOOKIN' AT MY CURVES, COKE BOTTLE. FAST CAR, YOU'D NEVER CATCH ME. I SEE YOU'RE LOOKIN' AT MY CURVES, COKE BOTTLE.
« Salut Sansa. » Je ne prends même pas la peine de me retourner, déjà blasée par cette conversation qui n'a même pas encore commencé. « Yo. » Seule réponse de ma part, le mot le plus court que j'ai pu trouver et qui collait avec la situation, une syllabe, deux lettres et le tour est joué. S'ensuit un silence énorme et terriblement gênant pour la connaissance qui occupe actuellement le siège à côté du mien sans même avoir été invité à s'y asseoir. C'est inadmissible. Je choisis les gens qui me côtoient selon des critères qui me sont propres, mais personne ne me force jamais la main. Même quand je suis seule, dans un bar, à presque 23h. Bon, d'accord, à priori on pourrait penser que j'ai l'air minable, que je suis une pauvresse délaissée et que l'homme de mes rêves vient de me poser un lapin. Mais ce serait un ramassis de conneries, primo parce que je n'ai jamais l'air minable, même lorsque je le suis intérieurement, ensuite parce que rien que le fait de poser ses fesses sur une chaise de ce bar montre au monde entier que vous êtes un futur millionnaire (voire milliardaire, autant être ambitieux et taper haut dès le départ, n'est-ce pas) et enfin parce que l'homme dont il est question ici n'est pas encore en retard (mais le sera s'il n'est pas ici dans une minute, ce qui ne lui laisse qu'un laps de temps très court pour éviter que la situation ne termine en guerre mondiale – toutefois je lui fais confiance, il sait gérer les situations critiques puisqu'il sait me gérer, moi). « J'ai lâché ma go. » Ah, voilà que l'imbécile d'à côté repart dans son monologue. Autant ne pas le congédier maintenant : je pourrais m'acharner sur lui si Yi Feng vient effectivement à être en retard. Ce que je ne lui souhaite pas, encore une fois ; on ne fait pas attendre les divas. « Oh, great. » Le presque inconnu marque un temps d'arrêt, réalisant que mes mots n'étaient pas réellement appropriés à son désespoir post-coeur brisé. « Pardon ? » Ne croyez pas que je traite le commun des mortels comme des sous-produits pour la simple et bonne raison qu'ils n'ont pas autant d'argent que moi, pas de talent artistique, pas de beauté particulière ou encore un cruel manque de charisme, ce genre de critères. Ça n'a rien à voir –  le fait que je sois amoureuse d'un pauvre, passion inavouée, suffit à prouver que je ne suis pas seulement une pimbêche irrécupérable et accro aux apparences. Mais certaines personnes ont un don pour faire ressortir mon potentiel affirmé de connasse professionnelle, notamment les types qui viennent me confier leurs peines de cœurs superficielles alors qu'on ne s'est vus qu'une ou deux fois. Toutefois les pires restent encore ceux qui me déclarent être fraîchement célibataires pour me faire comprendre qu'il y a maintenant plus de place dans leur lit et que leur braguette est prête à s'ouvrir pour une consolation mutuelle.

« Yi Feng, Yi Feng, Yi Feng. » Comme si murmurer son prénom allait le faire venir plus vite. Il est maintenant 23h02, il a donc deux minutes de retard – quelqu'un de moins maniaque et pointilleux que moi ne s'en formaliserait même pas. Je n'ai d'ailleurs pas l'intention de lui reprocher quoi que ce soit : je pardonne tout à Yi Feng, en tout cas c'est ainsi que les choses se sont toujours déroulées jusqu'à aujourd'hui il n'y a aucune raison qu'elles changent de si tôt, à moins que l'un de nos paris ne tournent vraiment à la catastrophe. D'autant plus que je sais qu'avec nos métiers – ou plutôt nos passions – un empêchement est rapidement arrivé et nos journées se terminent souvent excessivement tard, ce qui explique au passage notre heure de rendez-vous. Plan pour la suite ? Boite si le cœur nous prend, direction son appartement ou le mien si l'envie de calme nous assaille, dans tous les cas prolongations jusqu'au petit matin, agrémentées de substances en tout genre. Je tourne actuellement au morito ; les hostilités n'ont pas encore commencé, je n'attaquerai pas le niveau supérieur sans lui. Le voilà d'ailleurs qui passe la porte, toujours aussi grand malgré mes talons de vingts centimètres, toujours ce charisme débordant, cette assurance alarmante, cette classe phénoménale et j'en passe ; son attitude m'a attiré l’œil dès notre toute première rencontre et je ne m'en suis jamais remise depuis. Mais ce qui m'a le plus charmée, c'est bel et bien ce penchant joueur, cette habitude dangereuse de relever tous les défis. Après mon habituel sourire carnassier en guise de bienvenue, je laisse d'ailleurs mes yeux dériver jusqu'à l'indésirable, toujours planté à ma gauche. « Je parie que tu n'es pas capable de... » C'est bien entendu à Yi Feng que je parle et nul doute que la formulation tant entendue et tant utilisée a déjà titillé ses oreilles. Pour éviter de parler à voix haute je préfère laisser ma main glisser horizontalement le long de mon cou, comme un couteau l'aurait fait en me tranchant la gorge : Yi Feng, Yi Feng, Yi Feng, je parie que tu n'es pas capable de dégager la troisième personne en beauté.

Spoiler:
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Long Yi Feng
Les squelettes de son placard
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Long Yi Feng
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j'ai même d'autres gl pour te plaire : The Lydds, ou Nana, tout dépend quelle facette d'elle tu as connue.
et l'actuelle je la dois à : aeroplane.
en rp j'suis le sosie de : Lee thesexymannequinwithweirdfaceofnuthangcrew Soo Hyuk.
On me connait en tant que : Le Dragon.
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if you leave
if you leave, then baby I'll leave, I'll let it go girl, it's over, but I have no doubt, we could work it out.
L’énorme appareil photo pend de ma main droite, ma main gauche tient la souris de l’ordinateur, cliquant pour faire défiler les images. Je commence à rager. Je dois finir ce travail avant de pouvoir quitter le studio. Mais je n’arrive à rien. Cette femme face à moi n’a aucune âme, aucune émotion à transmettre par son regard, elle est vide, elle est belle, mais vide. Pourquoi choisir quelqu’un comme ça pour porter ses nouveaux vêtements ? Pourquoi ne pas me faciliter la tâche en me laissant choisir les mannequins de temps en temps ? Oui, je le conçois, je suis un mannequin très renommé, mais on ne peut pas dire la même chose de mes talents de photographe, pourtant je sais que je peux faire des merveilles, autrement, Jae Min n’aurait pas fait de moi le seul photographe pour son image… n’est-ce pas ? Je lâche violemment la souris qui finit sa trajectoire au sol, et m’allume une cigarette. Et que personne n’ose me dire que je n’ai pas le droit de fumer ici parce que je les brûle tous vivants, un par un. Ce travail je l’ai accepté parce que c’est un ami de Jae Min qui me l’a proposé, seulement, je vais dire à mon boss que les mannequins de son ami sont niais, ignorants et malfaisants. Un des miroirs du set reflète mon image, une veine enflée traverse mon front en verticale, rejoignant la ligne de mon nez. Je suis agacé donc. Je regarde le personnel autour de moi. « Tout le monde sauf les assistants de lumière dégage. Chang Min, ça vaut pour toi aussi, pas envie de te percer les tympans. » Je l’adore mon assistant, mais vu ce que je vais faire pour raviver ce set, je préfère qu’il ne soit pas présent. Une dizaine de personnes doit donc quitter la pièce, et ils se regardent tous étonnés, ne sachant pas vraiment que faire. « DOIS-JE ME REPETER EN PLUS ? FOUTEZ LE CAMP ! » Moi colérique ? Totalement. Moi autoritaire ? Sincèrement. Ma voix grave résonne dans le set, et ils s’exécutent tous. J’aspire une longue bouffée de nicotine, et la recrache sur la mannequin qui semble apeurée. Au moins la peur, elle sait la montrer. Je m’approche très près d’elle. Elle est en sous vêtements, c’est de la lingerie fine, et je l’intimide désormais. Elle n’est qu’une débutante et elle a osé me défier depuis le début, maintenant elle va payer pour ça. Je ne cache pas ma voix, je veux que les gens restants entendent clairement ce que j’ai à lui dire. « J’ai remarqué ton regard au début de la séance. Tu veux que je t’allonge n’est-ce pas ? Seulement, tu as autant de sex-appeal qu’une bûche. Si tu veux que quelqu’un comme moi ait ne serait-ce que l’envie de se faire sucer par toi, faudrait que tu fasses quelques efforts. Ce n’est pas parce que t’es passée sous le bureau du patron que tu peut satisfaire les besoins des autres. Là je suis avide de perfection, et ta médiocrité est en train de narguer sérieusement ma patience. »

Une heure plus tard, la mannequin quitte le décor en pleurant. Une heure plus tard, je suis assis devant l’ordinateur à regarder les photos que j’ai prises et elles sont parfaites. J’ai dû légèrement changer le concept à quelque chose d’un peu plus masochiste, mais au moins, la femme que l’on voit sur les photos a désormais une certaine prestance, et le produit, est parfaitement mis en valeur. J’aime faire un travail propre, je ne fais pas les choses à moitié moi. Une nouvelle cigarette, un petit cachet magique et un coup d’œil à l’horloge. Je n’ai même pas dix minutes pour arriver au Monkey Beach à l’heure. Cela va être difficile, mais pas impossible.


1106pm. Je passe les portes du bar. Je dois avoir les yeux rouges derrière mes lunettes de soleil, mais, ça ne m’empêche absolument pas d’admirer la beauté de la jeune que je rejoins. Un sourire apparaît sur ses lèvres en m’apercevant, un sourire que je lui rends aussitôt. Après ce que je viens de voir, je me dis que c’est réellement quelqu’un comme Sansa que je considère comme « belle », charisme, style, courbes et présence. Oui, à mes yeux elle est magnifique. J’ai à peine le temps de demander au barman de me servir la même chose qu’à elle, qu’elle formule déjà le premier défi de la soirée. Je sens l’adrénaline s’étaler timidement dans mon organisme. Le virer en beauté ? Elle veut déjà du spectacle ? J’acquiesce très discrètement, retirant mes lunettes, et sirotant mon verre. « Et toi là. » dis-je alors à l’attention de la troisième personne. « Je rêve où tu viens de mater la poitrine de ma meuf ? » Je lâche le verre, prends Sansa par le bras pour l’éloigner du type et me mets face à lui. Il devient blême, pâle, me regardant effrayé, mais essaie tout de même d’articuler quelque chose. « Ferme la petite bite je ne veux pas t’entendre. Y’a pas de « mais » qui tienne ici, déjà de base tu t’es pris pour quoi pour lui adresser la parole ?! Tu vois la porte là bas ? Et bien maintenant tu te lèves, et tu dégages. » répliquais-je d’un ton glaciale, enchainant les paroles d’une voix monotone. Il ne se fit pas prier, dans la seconde, il avait disparu. Je me tourne alors vers ma compagne. « Même pas « bonsoir comment va ? » que tu me fais déjà suer ? Aish ma belle, que vais-je faire de toi ? »

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odd look
DID I SEEM TO GIVE YOU A LITTLE BIT MORE LOVE TO YOUR LONELY LIFE ? (DOES IT MAKE YOU STRONG ?) DO YOU FEEL LIKE YOU CAN TAKE THE PLANET ON ?
Je sais ce qu'il se passe à l'intérieur de lui. J'ai déjà ressenti la même chose, cette même envie d'agir, de bondir, de se faire entendre et respecter, encore et encore ; pardessus ces sentiments le jeu préside : cette idée tant reprise que nos avons les cartes en main, que la mort est loin, que la vie est un jeu, un putain de piment rouge comme diraient certains. Yi Feng et moi sommes avides de pouvoir. Que le processus soit conscient ou non, il est évident que tous ces défis ne nous mènent qu'à une chose principale : la victoire, l'assurance d'avoir asservi une partie du monde, bientôt ce même monde tout entier sera à nos pieds. Le pouvoir, l'influence. « Et toi là. » Défier jusqu'aux règles les plus importantes pour le plaisir de les voir s'écraser sur le sol. Laminer jusqu'aux personnes les plus importantes pour la satisfaction de ne pas être à leur place, d'être préservé pour quelques secondes encore. « Je rêve où tu viens de mater la poitrine de ma meuf ? » Sa question m'attire un sourire satisfait ; que cela soit normal ou non, j'éprouve toujours un plaisir sans nom lorsqu'il m'appelle sa copine, et surtout lorsque tout le monde autour nous entend. Une histoire de possessivité probablement : le besoin de le posséder, de savoir qu'il est à moi et que je suis à lui, même si nous n'avons rien d'un couple au sens commun du terme. Possessivité, oui, mais pas seulement. Je suis au bord du gouffre et j'ai l'impression que Yi Feng ne marche pas toujours d'un pas très assuré non plus. En témoignent ses yeux, que je devine par habitude sous les verres fumés de ses lunettes. Injectés de sang, pupille rétrécie. Et je prie, oui je prie, derrière le jeu et les risques, pour qu'il puisse se raccrocher à moi et que je puisse me raccrocher à lui. « Ferme la petite bite je ne veux pas t’entendre. Y’a pas de « mais » qui tienne ici, déjà de base tu t’es pris pour quoi pour lui adresser la parole ?! Tu vois la porte là bas ? Et bien maintenant tu te lèves, et tu dégages. » Je me retiens difficilement de rire, parce que Yi Feng a fait son taff à la perfection : le visage de l'autre s'est totalement décomposé et il se lève précipitamment pour filer en direction de la porte. Le pauvre n'avait pas beaucoup de tempérament, apparemment. Il faut avouer que face au ton glacial du mannequin, ceux qui résistent ne courent pas les rues. « Même pas « bonsoir comment va ? » que tu me fais déjà suer ? Aish ma belle, que vais-je faire de toi ? » Voilà ses yeux rivés dans les miens, ces mêmes yeux fatigués et rougis dont je tente de raviver la flamme. « Bonsoir, comment ça va ? » Sourire malicieux, ton moqueur : nous savons tous les deux qu'il m'aime pour mes fantaisies et que si je m'étais contentée dès le départ de le saluer par des banalités, nous ne serions pas ensemble dans ce bar ce soir.

Je tends la main vers la chaise, qu'il n'occupe toujours pas à cause de la précédente engueulade – ou plutôt sa tirade – et lui indique qu'il peut s'asseoir d'un geste théâtral. « Ce que tu vas faire de moi ? Ce que tu veux, Yi Feng » Ah, voilà que ça commence. Les choses sérieuses. Le tête à tête. Le sourire charmeur et ravageur, très évocateur, comme doté d'une saveur d'explicite. Le début de la nuit qui s'annonce mouvementée et dont je ne peux toujours pas prévoir la fin, sorte d'hésitation habituelle lorsqu'il faut composer avec Yi Feng, facteur imprévisible. « Pour commencer, tu pourrais me dire où on passe après. C'est toi qui décide, mate le privilège. » A vrai dire, il s'agit plutôt d'une façon déguisée de lui demander si son appartement est libre ou non, et si d'autres personnes y sont conviées ; une soirée entre amis dans un endroit sécurisé semble finalement plus appropriée pour le jour de l'an qu'une boite blindée de monde ou nous allons être arrêtés toutes les deux minutes pour signer des autographes. Non pas que la célébrité ne me déplaise ou m’insupporte, loin de là – j'en connais plus les bons aspects que les mauvais – mais je nous voyais plus tranquilles. « Attends, c'est moi où tu l'as véritablement traité de petite bite ? » Sourcils froncés tandis que je me repasse la scène dans la tête, regard moitié interrogateur et moitié amusé. Yi Feng commence à être adapté à mes constants changements de sujet, tout comme à mes fréquents changements d'humeur. « T'as été assez agressif. Mauvaise journée, hein ? » Je sirote mon verre d'alcool comme si de rien n'était, gorgée après gorgée, l'air purement détaché de toute préoccupation ; en réalité chacun des états d'âme du mannequin est susceptible de me ronger de l'intérieur. Je m'en fais trop, je sais, chaque fois qu'une personne amochée entre dans mon cercle d'amis – et amochés, nous le sommes tous, sans une seule exception. C'est que la vie laisse des traces, qu'on le veuille ou non. « Problème Majeur ou Problème Mineur ? » Encore un code entre nous : si le problème est majeur, c'est qu'il va nécessiter quelques jours ou plus pour s'en remettre et aussi un bon paquet de larmes ; s'il est mineur, alors ce n'est qu'une préoccupation passagère qui, dans le cas de Yi Feng, pourra être réglée par une pilule colorée ou une partie de jambes en l'air. « En fonction de ta réponse, l'intensité du défi va bien entendu varier. Parce que oui, c'est à ton tour de m'en donner un. » Retour dans le jeu, nouvelle mise en spectacle, pas le temps de traîner cette nuit.
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Long Yi Feng
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Long Yi Feng
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so bad
you were here when I wrote this one, so when you'll hear it, you'll know that it's yours. you were high as a bird, perched beside me and listening closely, mesmerized, by the words that I will sing to you through your headphones, well you looked so damn cute in those headphones, and I miss you so bad.


L’assurance. La confiance. Je ne remercierai jamais assez Jae Min de m’avoir appris ces choses là. Le sang froid, la perte de celui-ci. Je ne sais pas me contrôler, émotionnellement parlant. Dans la théorie, je sais des dizaines de choses, mon cerveau marche à toute vitesse déclenchant des vagues d’informations inutiles qui m’irritent. Je suis avide de perfectionnisme et d’autorité puisque ce sont deux domaines dans lesquels je peux choisir sur quoi me focaliser. Où mon don d’intelligence n’est plus un handicap car il est trop développé, mais un simple don, que je peux maîtriser. Alors, il faut se donner des défis, il faut se surpasser, il faut pouvoir démontrer que l’on vaut quelque chose. Parce que c’est le seul moyen que nous ayons d’avancer, de progresser, de s’apprécier. Je m’emporte. Je joue le jeu, les veines de mon cou enflent, et l’adrénaline traverse vivement mon corps de part et d’autre lorsque je finis de le descendre, le bonhomme. Je le regarde partir, et tout s’en va. La pression, la colère, les faux semblants. J’ai gagné, Sansa rit, et moi j’ai gagné. Je souffle un long coup et réajuste mes lunettes de soleil. Le sourire revient à mes lèvres. Moi aussi je ris, je ris car elle me répond. Je prends place sur la chaise qu’elle me montre, et reprends mon verre. Si elle n’était pas si jeune, si je ne m’étais pas déjà attaché amicalement à elle, si on se trouvait dans d’autres conditions, dans un autre pays, dans une autre vie peut-être, j’aurais fait de cette femme la mienne. Mon regard se plante dans le sien alors que mon visage se dénude d’expression quelconque, le verre frais reste collé à mes lèvres, et ma voix monotone reprend le dessus. « Je voudrais t’attacher à mon lit, nue, simplement nue. Tu ne verrais plus la lumière du jour, tu n’aurais plus la notion du temps. Tu serais un accessoire pour moi, un trophée. Oui, je ferais ça de toi oui. »  Je tourne alors la tête, reposant le verre sur le bar, regardant mes doigts le lâcher. Je veux une autre pilule, je veux une autre couche de peinture sur mes murs si sales. Pourquoi les nettoyer quand on peut cacher la saleté ? D’un geste très rapide, je sors de la poche interne de ma veste ce que je désire et le pose sur ma langue, finissant ensuite mon verre. Mes yeux se ferment une demie seconde, je peux sentir la trajectoire du cachet en moi tant j’en ai l’habitude. Mes yeux s’ouvrent, et ma main se lève pour appeler un des barmen. « Sers nous deux cognacs. » Dis-je rapidement, avant de poser ma main sur la cuisse de Sansa. « Ensuite allons chez moi, Sun Hee n’est pas là, elle doit être encore chez Leo, et puis, si tu le souhaites, on peut appeler Hwannie pour savoir ce qu’il fait, mais ça, ça ne dépend que de toi, tu sais bien que je suis pas du genre à prévoir les choses de toute façon. » Mes doigts se ferment doucement autour de sa chair, et je hoche la tête. Je n’ai pas prévu, je n’ai pas eu la tête à ça, et même si je l’avais eue, j’aurais juste appelé Sae Hwan. Alors, la différence n’est pas bien grande.

« Petite bite est la première chose qui m’est venue à l’esprit. Je voulais le traiter de raclure de bidet, mais j’avais peur qu’il ne comprenne pas l’insulte, je m’en suis tenu à un langage simple pour le QI moyen… » je hausse les épaules, faisant une petite moue, comme déçu. Oui, bon, je n’arrive pas à perdre mon accent quand je parle coréen, mais ça n’empêche que je maîtrise bien la langue, et que je peux jouer les sarcastiques auprès de pas mal de nationalités. Le barman nous pose les verres, et je tends le sien à Sansa, faisant tinter le mien contre le sien. « Très mauvaise. J’avais une séance photo. J’étais derrière l’objectif. Et celle qui était devant était fade. Juste fade. Je l’ai descendue aussi, mais au moins, au bout de quatre heures au lieu d’une et demie, j’ai obtenu ce que je désirais… » Je soupire encore. « Mineur. Demain je n’y penserai plus j’en rirai même peut-être. » Je tire quelque peu la chaise, m’approchant d’avantage de la jeune demoiselle qui me tient compagnie. Elle est enivrante, n’est-ce pas ? J’approche mon visage du sien, laissant à peine quelques millimètres de séparation. Son souffle s’écrase contre mes lèvres. « C’est à mon tour en effet… Que pourrai-je donc obtenir de toi ce soir ? Que pourrai-je donc te voler… ? » mon sourire narquois refait surface alors que ma main se glisse dans sa chevelure lisse et douce. Mes yeux scrutent les lieux, et je trouve une stupidité à réaliser. A quelques chaises de nous, en train de.. danser ? oui certainement danser se trouvaient un groupe de jeune héritières. Sur les six, j’en ai déjà baisé quatre, mais ce ne sont que des détails. Soit, elles sont riches, gâtées, et aiment les excès. « Je parie que tu n’es pas capable de voler au moins deux de leurs sacs.  Pas besoin de te cacher pour ça, sinon, ce ne serait pas drôle. Si tu te démerdes bien ma belle, on aura de quoi s’amuser ce soir, et sans rien dépenser. Je t’attends dehors ? »

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et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4234 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : plus que dispo.
et l'actuelle je la dois à : avatar : ivy/chanus. signa : petulia.
en rp j'suis le sosie de : lee chae rin (CL, 2NE1).
On me connait en tant que : neir (nom de scène).
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 18 ans.
Mais j'en ai déjà vécu des choses : fiche de présentation
mes journées sont bien remplies : étudiante, mais à mi-temps seulement, voir moins : membre du groupe dmc, et entre les heures passées en studio et celles passées sur scène il faut souvent gagner du temps sur autre chose, sans compter qu'elle se produit très régulièrement en tant que dj ; que voulez-vous, voilà où mène l'amour des platines.
avis aux stalkeurs : www. l'amoureuse. (seolchan)
www. l'apprentie voleuse. (event)
www. la diva. (anya)
www. l'aguicheuse. (yi feng)
www. la mafieuse. (keiko)

(+) hyodae & la future tranche d'ananas & saehwan. checke ma to do list : ☑️ résister aux tentations des pilules multicolores ☐ trouver le temps de passer toute une journée allongée à ne rien faire ☐ bosser plus sérieusement sur ces putain de paroles qui ne ressemblent à rien pour le moment ☐ manger. un repas par jour est un minimum, à ce qu'il parait ☑️ dire à jun que je l'aime jusqu'à ce qu'il menace de me tuer ☐ élargir le cercle social (il semblerait malheureusement que je fasse toujours aussi peur.)
❝set them on fire !
http://www.velvetdust-mag.com/t129-ilang-sansa-god-knows-you

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION:
JUKEBOX: THE WEEKND. devil may cry.

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watch out for the dumb
I'VE BEEN WORKIN EVERYDAY, I'VE BEEN WAITIN FOR TIME TO PLAY. BRING THE FIRE, LET'S BURN IT DOWN : TONIGHT, I LOSE MY MIND. I WANNA HAVE SOME FUN, RIGHT NOW I'M GETTIN' DUMB.
Parfois son visage reprend cette teinte froide qui lui est propre et je doute de nouveau. Indécise sur à peu près tout ce qui m'entoure, Yi Feng est loin d'échapper à la règle : ainsi je me demande s'il ressent réellement quelque chose pour moi, et qu'elle est la nature de cette chose. Peut-être que tout ceci n'est qu'une mascarade et que je vais me réveiller un matin en comprenant qu'il n'y avait aucun attachement entre nous deux, rien d'autre que du faux, une image comme nous savons si bien le faire, lui tout comme moi. Je veux savoir si notre relation est si malsaine que certains le disent, là où je la vois presque enfantine, adorable au point de tout faire pour la préserver ; de toute évidence ils ne voient pas ce que je vois, ils ne savent pas ce que je sais et n’interprètent pas nos faits et gestes comme ils se devraient d'être interprétés ; Yi Feng et moi étions des âmes sœurs dans un autre monde, un monde aujourd'hui profondément éloigné et dont il ne nous reste que de vagues souvenirs. Notre proximité tient surtout à notre envie réciproque de nous sauver, de ne surtout pas nous laisser couler, d'éloigner nos pas du bord du gouffre. Je suis l'une de ses barrières face à l'auto-destruction, tout comme il est l'une des miennes. Je comprends toutefois les réactions des gens et leurs questionnements, je comprends en quoi ils nous trouvent ambigus : « Je voudrais t’attacher à mon lit, nue, simplement nue. Tu ne verrais plus la lumière du jour, tu n’aurais plus la notion du temps. Tu serais un accessoire pour moi, un trophée. Oui, je ferais ça de toi oui. » Je manque de m'étouffer avec mon verre, et pourtant je m'attendais plus ou moins à une réponse de ce genre. Ce type parviendra toujours à me surprendre, décidément. Je m'apprête à riposter, esprit vif comme à l'accoutumée, lorsqu'il fait ce geste que je redoutais tant depuis le début de la soirée. Ces pilules détruiront nos vies, à coup sur. Parce que si elles détruisent la sienne, elles détruiront la mienne également au passage. « Yi Feng - » A peine le temps de commencer ma phrase qu'il enchaîne, demandant à ce qu'on nous réserve. Ma voix n'était de toute manière plus qu'un murmure, peut-être ne m'a t-il même pas entendue. Je vais entamer le nouveau verre la mort dans l'âme, les yeux plongés vers le fond, n'osant pas reprendre la parole pour expliquer ce qui me met tellement mal à l'aise. Le problème vient principalement de moi, et surtout de tous mes principes : ne jamais rien interdire à personne, garder et laisser aux autres une liberté totale, ne pas qualifier les choses de mauvaises juste parce que la société déclare qu'elles le sont. Il est interdit d'interdire, me souffle une voix intérieure. Et pourtant parfois j'ai peur, peur d'imaginer qu'on fonce droit dans un mur et qu'on va s'y écraser sans retenue. Sa main sur ma cuisse ne me permet même pas de repartir dans nos jeux habituels. Son allusion à son appartement vide non plus. On pourrait y aller, ne pas appeler Sae Hwan de toute façon probablement déjà bien occupé avec une jolie fille, on pourrait s'y poser rien que tous les deux et dériver vers le lit, se planquer sous les draps, planter nos ongles dans la peau de l'autre. Bien sur, qu'on pourrait le faire. A condition d'oublier qu'on est en train de perdre à notre propre jeu, qu'il est amoureux d'une autre et que je suis amoureuse d'un autre et qu'on ne fait que noyer nos amours impossibles dans un flot de gémissements illogiques.

Nos verres tintent tandis que la discussion reprend, sur l'idiot qui tentait de me draguer tout d'abord, puis sur la journée du grand brun à mes côtés – problème Mineur, à mon grand soulagement. Je m'offusque malgré moi (« Quatre heures ? Quatre putain de longues heures ? ») à voix beaucoup trop haute, encore chauffée par l'incident d'il y a quelques secondes à peine ainsi que par mes raisonnements tordus. Trop penser finira par me tuer ; chaque geste extérieur me ramène à des peurs infondées que je m'efforce de cacher par ce charisme malsain qui est depuis devenu ma marque de fabrique. Il vaudrait mieux pour moi oublier la drogue, la fin de la nuit et toutes ces choses à première vue insignifiantes qui risquent de me foutre en l'air. « C’est à mon tour en effet… Que pourrai-je donc obtenir de toi ce soir ? Que pourrai-je donc te voler… ? » Voilà qui me remonte, voilà qui me plaît et qui m'enivre : le passage au défi suivant, sans compter la délicieuse proximité de Yi Feng, mon souffle contre ses lèvres, le sien contre les miennes, que je mords d'un air entendu, sa main dans mes cheveux et mon sourire de plus en plus diabolique, cette lueur qui s'allume dans mes yeux lorsqu'il s'agit d'agir, agir enfin, laisser les meurtrières pensées derrière soi. Yi Feng demande ce qu'il veut, je vais le chercher, déjà en route vers la table d'à côté, prenant toutefois le temps de lancer que « quand-même, la prochaine fois tu pourrais me choisir des hommes, au moins là c'est plus simple, il me suffit de baisser mon haut pour obtenir ce que je désire ; à moins que l'idée qu'ils puissent trop me regarder ne te déplaise ? ». Rien de réellement compliqué pour moi, les demoiselles sont d'ores et déjà bourrées, leurs pas sont incertains et leurs sacs abandonnés sans surveillance sur leurs fauteuils. Je me permets même de passer au milieu de leur groupe sur le chemin du retour, sachant que j'ai auparavant eu l'audace de fouiller leurs sacs pour mettre tout ce qu'il y avait de plus intéressant dans un seul d'entre eux : hors de question que j'en porte plus d'un, une diva ne porte rien. L'une d'elles se rend vaguement compte que quelque chose d'anormal est en train de se passer ; je me contente de lui demander « qu'est-ce qui ne va pas chérie, t'as été mal baisée cette année ? T'en fais pas va, l'année suivante changera pas la donne, mais au moins t'auras été habituée, ça sera plus facile à accepter. ».

A quelques pas de là Yi Feng me tient la porte, déjà presque dehors, et je me glisse rapidement dans le froid de la nuit. J'ouvre le sac et lui tend, énonçant le butin à voix haute : « On a de la jolie poudre blanche que je risque encore de fixer toute la nuit en résistant comme une dingue pour ne pas y toucher, quelques billets que l'ancienne pauvre que je suis n'a pas pu s'empêcher de prendre et... oh, que vois-je ? Des préservatifs. » Des tas d'autres objets s'y trouvent, mais je dois avouer qu'ils ne m'intéressent pas tous au même titre ; et actuellement, tout ce que je veux, c'est quitter le froid de la nuit pour retrouver la chaleur... de l'appartement de Yi Feng, par exemple. J'ai toujours l'intention de terminer la nuit de manière purement amicale, mais l'attrait du risque est trop fort, je me dois de revenir sur une chose bien précise. « Tu te souviens de ta proposition ? Celle du lit, de mes poignets attachés et d'un certain... manque de vêtements. » Je m'approche dangereusement, attitude féline au possible et regard pétillant de malice, inconsciente du mouvement qu'il y a autour de nous, tous ces gens qui marchent dans la même rue que nous et dont les vies semblent pourtant si lointaines, si espacées. « Tu ne feras jamais de moi un accessoire ; ta proposition ne m'intéresse pas si je ne suis pas indispensable à ta survie. » Sa bouche semble m'appeler, je suis incapable d'y résister, je me dois de l'embrasser, prise dans l'étrangeté du moment et charmée par la possibilité que quelqu'un nous prenne en photo et qu'un scandale soit lancé dès demain matin. L'espace qui nous éloignait jusqu'ici se réduit de plus en plus et avant qu'il ne soit tout à fait obsolète j'ai le temps de glisser quelques mots, dans un murmure aux nuances séductrices : « Je parie que tu n'es pas capable de m'embrasser. » Au fond, tout au fond, je sais pourtant qu'on est en train de perdre à notre propre jeu, qu'il est amoureux d'une autre et que je suis amoureuse d'un autre.
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Long Yi Feng
Les squelettes de son placard
aka FDP GENF, couille droite de KJM
Long Yi Feng
tel un warrior j'ai débarqué le : 12/12/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 267
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 3907 alors j'suis célèbre à ma façon: :
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Azi tu veux un rp ? je suis : FULL
j'ai même d'autres gl pour te plaire : The Lydds, ou Nana, tout dépend quelle facette d'elle tu as connue.
et l'actuelle je la dois à : aeroplane.
en rp j'suis le sosie de : Lee thesexymannequinwithweirdfaceofnuthangcrew Soo Hyuk.
On me connait en tant que : Le Dragon.
GENF GENF LE FDP.
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 24 ans.
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so bad
do you remember the nights we made our way dreaming,hoping of being someone big? We were so young then, we were too crazy in love. When the lights go out, we'll be safe and sound, we'll take control of the world like it's all we have to hold on to, and we'll be a dream.


Il devait l’aimer. Dans le fond il devait l’aimer de façon inconditionnelle. De façon à ce qu’il ne puisse réellement la toucher. Quand les lumières s’éteignaient, ils étaient en sécurité, ils étaient seuls, ils étaient les maîtres du monde, et surtout, ils n’étaient plus qu’un rêve. Il devait l’aimer. Inconsciemment il devait l’aimer. Mais bien plus que ce que l’on aime un ami, bien plus que ce que l’on aime une sœur, bien plus que ce que l’on aime sa petite amie. C’était un sentiment étrange que peut-être il ne comprenait pas, dont il n’avait sûrement pas conscience. Tout changeait. Quand il était avec elle, tout était critique. Il se sentait vide et si empli en même temps. Ce n’était pas sain. Déjà de base, il ne pouvait dormir ou manger. Alors ensemble, c’était plus que critique. Une fixation l’un pour l’autre qu’ils ne résoudraient sûrement jamais. Lorsqu’elle était arrivée dans sa vie, il avait conquis son cœur malgré lui, mais d’une façon bien plus innovante que l’on pourrait croire. Il la voulait dans ses bras comme il la voulait loin de lui. Ce n’était pas comme avec Sun Hee, ce n’était pas comme Anastasiya. Il ne pouvait rien faire avec elle, mais il ne pouvait faire sans elle. Parfois, avec Sansa, il avait juste envie de fuir, de se dire que tout n’était que folie, que leur vie était une folie. Il voulait utiliser l’excuse de l’incompréhension, de l’insanité de la relation pour tout quitter. Mais, elle faisait partie de l’air dont il avait besoin pour respirer. Oh… C’était alarmant de penser de telles choses. « So stuck on you » seraient des mots appropriés pour cette situation. Cependant il ne les prononcerait pas non plus. Yi Feng jouerait comme ils l’avaient toujours fait, puisqu’après tout, c’était leur meilleur moyen pour communiquer. Ses mots, ses paroles, ses phrases, entendues par n’importe quelle autre personne seraient scandaleuses. Le cas était peut-être aussi valable pour Sansa, mais il ne lui laissa pas le temps d’en dire que quoi que ce soit. Il l’avait entendu commencer une phrase, mais il n’y avait pas besoin de rajouter un quelconque dire. Ce n’était qu’une boutade. Demain ce serait oublié. Elle était son amie, et son ennemie. Se détruisaient-ils mutuellement ou alors se détruisaient-ils ensemble ? La nuance était certainement faible, mais elle avait de l’importance pour eux, puisque, tant qu’ils ne l’auraient pas comprise, tant qu’ils n’auraient pas choisi laquelle des deux était applicable à leur cas, ils ne pourraient pas être libres. La liberté n’était pas ce qu’ils créaient. Ce n’était plus que de l’illusion. Ce cercle vicieux et aveuglant avait commencé à les engloutir il y a bien longtemps. Etait-il trop tard pour en ressortir indemne ? La réponse la plus probable était : non.

Changeons de sujet, trouvons ce qu’il pourrait obtenir d’elle. « Si j’avais choisi des hommes, ce n’aurait pas été du domaine du défi, mais plutôt du passe temps. Et puis se dénuder, c’était un peu bas tout de même, don’t you think ? » Une petite moue, histoire de dire qu’il réfléchissait à la dernière partie de la question. Sa voix grave fit faire demi tour au barman. « Oui, cette idée me dérange, mais lorsque j’ai exposé le défi, je n’y avais même pas pensé, cela restera désormais bien vif dans mon esprit. Aucun homme autre que celui qui t’aimera ne pourra te regarder de la sorte. » Sur ces mots, il reprit ses affaires et se leva, allant vers la sortie. Il ne se retournerait pas pour regarder sa manœuvre. Il savait qu’elle réussirait. Alors il s’alluma une cigarette, la coinçant entre son majeur et annulaire. Voilà comment il fumait lorsqu’il n’était pas devant une caméra : en cachant pratiquement la moitié de son visage.

A peine quelques minutes s’étaient écoulées que la jeune femme ressortit avec le bottin entre les mains. Un fin rire franchit les lèvres du mannequin alors que celui-ci écrasait son mégot sous sa chaussure. « De la jolie poudre à laquelle personnellement je vais céder, elle me manquait, ça fait longtemps que je ne suis pas passé dans mon ancien quartier pour en avoir. Des préservatifs ? Garde les dans ce cas, ce n’est pas ce qui manque dans mes poches ! » Une blague ? certainement pas. Yi Feng, aussi drôle que cela puisse paraître, sortait toujours couvert. Jae Min avait raison : s’il pouvait échanger l’oxygène contre le sexe, il le ferait. Le jeune homme allait se mettre en marche pour se diriger vers sa voiture, mais les mots de Sansa lui en empêchèrent. Ses yeux d’un noir profond s’ancrèrent dans ceux de la jeune demoiselle. « Crois-tu réellement un instant que je puisse penser que tu es un accessoire dans mon quotidien ? Crois-tu seulement que je puisse imaginer ce cauchemar sans toi désormais ? Crois-tu seulement que cela aurait du sens tout ce que l’on fait si l’on était pas emprisonné l’un à l’autre ? Avec Young Do, c’est « si je tombe, il me relève », mais avec toi, c’est « si je tombe, je tombe avec toi ». Ne t’amuse pas à me redire ça une autre fois, je ne le laisserai pas passer. » Aucune expression dans le visage, juste une voix monotone qui parlait sans prendre de pause. Il ne répondait pas vraiment à l’attitude qu’elle affichait, il restait juste ainsi, un bloc de marbre qui ne pouvait être plus sérieux pourtant. Elle ne cesse d’approcher. Il pouvait y mettre toute la volonté qu’il voulait, mais il y aurait bien un moment où il cèderait. Il n’était qu’un homme. Il n’était que cela, un homme. Malgré le manque d’âme sur son visage, dans son corps, les mots de la rappeuse résonnèrent dans sa tête. C’était un pari. C’était un défi. Ce n’était qu’un défi. Juste cela.

Soudain, les actions s’enchaînèrent sans qu’il en ait le contrôle. Sa main droite se posa possessivement sur le bas du dos de la jeune, l’autre vint attraper son visage pour le bloquer, et ses lèvres se pressèrent avec force sur les siennes si pulpeuses. Il était un monstre. Ne l’abandonne pas. Il y avait de la haine dans ce baiser. Parce qu’il ne voulait pas faire ça. Parce qu’il ne devait pas faire ça. Parce qu’il avait était faible et avait laissé sa détermination flancher. Mais, en mêlant sa langue avec brutalité à la sienne, la haine passa au second plan. Du plaisir. Du plaisir pur à l’embrasser prit place. Mais aussi rapide avait-il été à baiser sa bouche, il rompit le lien. Déverrouillant sa voiture, la poussant à l’intérieur du côté passager, et lui-même prenant place, il démarra sans attacher sa ceinture. A toute vitesse. Sans un mot. Les yeux injectés de sang. Quand les lumières s’éteignaient, ils étaient les maîtres du monde, comme si c’était tout ce à quoi ils pouvaient s’afférer.


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Lim Raphael
Les squelettes de son placard
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mes journées sont bien remplies : Etudiant en commerce, caissier au McDo et .. Jungwi (mafia)
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ONGOING
leo aime dora w/ bamboleo

DONE
womanizer w/ mikeystufé

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Réussir mes études • Récupérer l'argent de la prostitution et des salles de jeu • Faire attention à bien garder mon secret • Acheter des super cadeaux à mes frères • Me payer l'intégrale des Tortues Ninja • Acheter ce manteau paru dans VD • Acheter une machine à café pour l'appart, une vraie ! • ..

MODO PEDOBEAR ❝  mafia boy
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