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Les idols & mannequins sont soumis à des exigences strictes (régimes drastiques, pression, épuisement)
La taille minimum pour les mannequins est fixée à 1m70
Les apparitions des idols sont à gérer avec précautions (gare aux fans !)
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Lie Ra Hael
Les squelettes de son placard
ADMIN SHAMANE ❝ attention whore
Lie Ra Hael
tel un warrior j'ai débarqué le : 06/10/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 658
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4617 alors j'suis célèbre à ma façon: :
SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-left72 / 10072 / 100SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : disponible
j'ai même d'autres gl pour te plaire : sun hyo dae
et l'actuelle je la dois à : juno
en rp j'suis le sosie de : jung jessica
On me connait en tant que : Rachel (prénom d'usage), Sha (proches)
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 26 ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses : présentationliensphone & GNS
mes journées sont bien remplies : chef de rubrique à VD (breaking news)
avis aux stalkeurs : www (minsha)
www (shinael)
www (fengsha)
www (event 1)
www (rachid)

✎ prévu avec Bek & Sunshine
✎ prévu avec (partenaire)
✎ prévu avec (partenaire) checke ma to do list : ☑️

ADMIN SHAMANE ❝ attention whore
https://velvet-dust.forumgaming.fr/t226-sha-my-heels-and-iphone-a

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: ta citation du moment
JUKEBOX: KP ಶ dark horse

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#STYLISH
#SADISTIC
#AMBITIOUS
#SHALLOW
#PARTYGIRL

noms à la naissance: moreau ra hael nom d'usage & surnom(s): rachel au quotidien & sha pour les intimes date&lieu de naissance: 29.02.1987, france. origines & nationalité(s): coréenne et française. pédigrée: riche occupation: anciennement à la tête de la rubrique Fashion du Velvet Dust Mag, chef de la rubrique breaking news depuis novembre. orientation sexuelle: hétéro, for sure. hm, la fille de l'autre soir ? je ne vois pas du tout... groupe sanguin: o+ signes physiques particuliers: un tatouage en forme de dollar derrière l'oreille, et un autre sur le côté gauche de l'index de la main gauche : "Shut up". groupe: galaxy possessor. célébrité: jung jessica (snsd)




I • JOB INTERVIEW
« If I cry, it's because I'm very angry and I can't do anything about it because I've run into a dead end. That's when the tears come down. »
26 ANS. GNS: @shamazing. STATUT MARITAL: Célibataire.

Chef de Rubrique (Breaking News)

VELVET DUST: « Avez-vous une formation (universitaire ou autre) ? Si oui, laquelle ? »
J'ai toujours baigné dans l'univers de la mode. Mon père, n'est autre que le créateur Lie Sang Bong, a fait naître puis cultivé mon intérêt pour le sujet ainsi que mon esprit critique et ma créativité. S'il espérait me voir suivre ses traces j'ai su très tôt quelle était réellement ma voie et ai donc opté pour le journalisme de mode ; prévoir et annoncer les prochaines tendances, élaborer des méthodes pour accroître l'électorat et devenir la référence en matière de mode... En sortant du lycée à mes 18 ans, j'ai directement intégré la réputée Seoul National University pour y suivre une formation en Design, Stylisme et Journalisme de Mode, qui impliquait quelques stages intéressants, mais trop rares à mon goût. J'ai validé ma licence trois ans plus tard. Trois ans, ça semble court ? Pas selon moi. Je suis de l'avis d'Anna Wintour :  « la mode ne s'apprend pas ». Du moins, pas dans les livres, pas en théorie, mais de façon pratique et au côté de personnes d'expérience. La Corée n'étant pas le berceau du style, j'ai choisi de voyager pour parfaire ma formation.

VELVET DUST: « Quelle est votre expérience professionnelle ? »
J'ai fait mes premiers pas dans le monde du journalisme de mode à 21 ans, en entrant à l'édition britannique du Harper's Bazaar en tant qu'assistante éditoriale. J'y suis restée un ans avant de rejoindre l'édition américaine en tant que rédactrice de mode, pour une durée de six mois. Le départ de l'un des chefs de rubrique du Velvet Dust m'a alors laissé entrevoir une opportunité d'emploi en Corée, ce qui a motivé mon retour à Séoul. Je ne nie pas que mes relations ont grandement joué en ma faveur, mais qu'on ne se fasse pas d'illusion : le poste ne m'aurait pas été attribué si je n'avais pas la capacité de le gérer correctement.

VELVET DUST: « Maîtrisez-vous plusieurs langues ? »
Je suis née en France, et ai donc toujours considéré le français comme ma langue maternelle, bien que le coréen m'ait été enseigné simultanément. Je parle aussi couramment l'anglais, et j'ai des bases d'italien.

VELVET DUST: « Quels sont vos centres d'intérêts ? »
Je suis une shopaholic assumée. Je passe beaucoup de temps à courir les boutiques pour me familiariser avec les articles vendus par chacune d'elles, voir lesquels ont un véritable succès auprès des acheteurs et, bien sûr, me faire plaisir. J'aime aussi les soirées mondaines, qui sont de bonnes opportunités d'élargir mon champ de contacts utiles. En fait mon travail occupe une large place dans la ma vie et mes loisirs. Je m'investis bien sûr dans plusieurs activités philanthropiques. Certaines sot environnementales : vous savez, beaucoup d'arbres sont à moitié morts parce qu'ils manquent d'eau et ont soif... c'est triste, non ? Mais je me consacre généralement plus aux causes humanitaires. J'ai d'ailleurs fondé il y a quelques mois, avec deux collaboratrices, la Child Survival Foundation, qui a notamment pour projet de soutenir financièrement l'orphelinat de Yeongeon : Lost Souls. De façon plus générale, la mission est de permettre aux jeunes issus de milieux défavorisés de prendre leur avenir en main et de réaliser des choix de vie « sains ». Sinon mes passions sont assez courantes : je pratique un peu de sport pour entretenir ma silhouette, j'écoute beaucoup de musique, j'aime regarder quelques films de temps à autres - devil wears prada est mon incontournable - ou dramas, et profiter de soirées entre amis.

Parle-nous de tes relations avec ta famille:
Je commencerai par mes sœurs. Comment ça, une sœur de cœur n'a pas à être mentionnée dans cette réponse ? Vu combien ma famille est composée, décomposée, recomposée, je pense avoir largement le droit d'y ajouter les noms que je veux. D'autant que Bekah et Sun Hee sont, pour moi, plus qu'une demi-soeur et une bf, je ne m'imagine tout simplement pas sans elles. Je suis aussi bien obligée de mentionner mon petit-frère... non qu'on ait une relation tendue : on n'a tout simplement pas de relation. Il a été enlevé quand il était enfant, l'espoir de le retrouver s'est amenuisé avec le temps, et puis on a déménagé. Le manque reste, malgré les années ; je me demande parfois ce qu'il devient, s'il est heureux quelque part, et s'il pense à nous..
Et puis il y a ma mère. "Mes" mères, plutôt : celle qui m'a donné naissance et la femme avec qui elle est en couple. Malgré des débuts très difficiles, des liens tirant plus vers le bas que vers le haut, elles m'ont tout de même fait le plus beau cadeau qui soit (Bekah). C'est ce qui me pousse à faire un effort vis-à-vis d'elles. J'en veut par contre à ma génitrice pour ses secrets, ses mensonges. Au sujet de ma naissance, de mon père. J'ai grandi aux côtés d'un homme avec lequel j'avais des liens très puissants, mais pas de sang : Grégoire, mon beau-père français. Ce n'est qu'à 16 ans que j'ai appris que j'étais liée à un certain Lie Sang Bong, qui avait pris contact avec moi dans mon enfance avant de disparaître de ma vie. Je tiens toujours énormément à Greg, j'étais plus proche que lui que de ma propre mère et on a traversé pas mal d'épreuves ensemble. Mais Sang Bong... je veux dire, mon père. J'aimerais renouer avec lui, tandis que lui refuse ne serait-ce que de m'adresser la parole. Je ne sais vraiment pas ce qui a provoqué cette cassure. Il me couvre d'argent, paye mon loyer, je suis même certaine qu'il est intervenu en ma faveur pour garantir ma place au Velvet Dust, alors pourquoi diable refuse-t-il tout contact ? ça m'échappe. Et ça me tape sur les nerfs. Hormis eux, comment ne pas mentionner Dolce, mon bébé ? Bon, c'est une petit singe. Étonnant quand on connait mon point de vue sur les animaux, mais je fonds complètement pour lui. Il a trois ans et est fantastiquement bien dressé : par exemple, ceux et celles qui passent leur temps à texter au boulot n'ont qu'à bien se tenir, il surgit tel en fantôme et s'empare des objets de distraction pour me les rapporter. Un vrai petit cafteur !

Quel est ton avis sur Velvet Dust ?
1. j'en ra-ffo-le, je ne manque aucune parution !
2. bouarf... je le lis de temps à autres, mais sans plus.
3. pff ! je ne perds pas mon temps avec ce genre de magazines.
J'aime voir le résultat de nos semaines de labeur, vérifier que tout soit parfait, envisager des améliorations, savoir quels articles ont plu et lesquels ont eu moins de succès auprès du public. et puis ce genre de mag est tout à fait mon style (bien évidemment !) alors pourquoi m'en passerais-je ?

Comment considères-tu ton métier ?
1. Cauchemardesque, je donnerais tout pour en changer...
2. Je suis parfaitement épanoui(e) et je ne changerais pour rien au monde.
3. Pas le choix, il faut bien bosser *air blasé*
4. Oh ce n'est qu'un tremplin/un job de passage.
5. Mon métier est ma vie et je cours après les promotions.
J'avoue, je m'y dédie corps et âme. Souvent même plus qu'à mes amants de passage, qui se lassent et me reprochent de ne pas tenir suffisamment à eux. Je n'y peux rien : les relations humaines exigeant une trop grande proximité me paralysent, tandis que mon métier m'épanouit ; alors entre les deux, le choix est vite fait. Et puis j'ai une ambition sans borne. Une femme trop haut gradée n'a aucune garantie de succès concernant sa vie privée, mais je suis à peu près certaine de pouvoir me contenter de vivre pour la mode. Après tout, fonder une famille ne m'intéresse pas, alors les heures supp ne me font pas peur.
I don't give a damn 'bout my reputation les bruits qui courent, info ou intox ?

1. on dit qu'elle est incapable de garder un homme. (v)
c'est que ça n'intéresse personne bien longtemps, une femme qui ne pense qu'à son travail les 3/4 du temps, qui crise littéralement en cas d'échec, est excessivement expressive avec ses meilleures amies et froide avec ses compagnons ; et elle occupe un poste trop important : c'est mauvais pour l'égo masculin. dire qu'elle approche de la trentaine ! toujours pas casée et bientôt fanée, une vieille fille en devenir !

2. on dit qu'elle est incapable d'aimer. (f)

3. la preuve ? elle ne verse pas une larme en cas de rupture ! (v)

4. on dit qu'elle passe sous le bureau du fils du patron. (f) c'est bien pour ça qu'elle se croit intouchable et se montre infecte avec les employés, non ? une petite peste impitoyable et dénuée de sentiments.

5. on dit qu'elle a causé la dépression nerveuse d'une ancienne collègue. (v)

6. on dit qu'elle a un autre animal de compagnie que son singe, un avec lequel elle ne se montre jamais. (f : c'est un humain)

7. on dit qu'elle est une Cruella des temps moderne. elle a horreur des enfants, imagine la plupart des animaux sous forme de fourrure dès qu'elle les aperçoit et ne se prête au jeu des association que pour dorer son image. (v)

8. on dit qu'elle vendrait père et mère pour le succès. (f)

9. on dit qu'elle convoite ouvertement le poste de Rédactrice en Chef. (v)

10. on dit qu'elle a déjà fait de la chirurgie esthétique. (v)

11. elle s'est d'ailleurs fait refaire les seins, n'est-ce pas ? (f) quelle tricheuse...

12. on dit qu'elle a eu des aventures avec des collègues de son père. (v) des hommes deux fois plus âgés qu'elle !

13. on dit qu'elle convoite et s'approprie les partenaires de ses "amies" comme des trophées. (f)

14. on dit qu'on a prétendu trois fois sur twitter qu'elle était morte. (excès d'alcool et accident de voiture le 10.10.2010 ; suicide le 29.02.2012 parce que tout le monde avait oublié son anniversaire ; vol armé le 03.08.2012). deux fois alors qu'elle était en voyage d'affaire, la troisième pendant des vacances en Italie. à cette dernière occasion, ses funérailles avaient même commencé à être organisés, avant d'être interrompus par la parution dans un magazine people d'une photo d'elle en bikini, occupée à bronzer sur la plage. l'info ayant été retweetée et commenté des centaines de fois, il lui a fallu faire un démenti public (v)

16. on dit qu'elle sabote les projets de ses collègues dans l'espoir d'avoir les meilleures statistiques. (f)

17. on dit qu'en dépit de son air prétentieux / précieux, elle fréquente souvent les karaokés et y fait un malheur. (v)

18. on dit qu'elle a rejoint les illuminati. c'est d'ailleurs l'origine de son succès. (f)

19. on dit que son singe est un espion. il s'empare même des pièces à conviction (portable, etc.) pour les lui ramener ! (v)



II • Oh, I believe in yesterday



SOMETIMES, SHIT HAPPENS ◈ Que je parle de la France, je récolte systématiquement des regards admiratifs. Il y a cette fascination pour l’occident, cet engouement qui fait de l’Europe une destination jugée « privilégiée ». On m’offre de grands sourires, des « Bonjour ! » enjoués à l’accent atroce, on me questionne sur la vie de rêve que j’ai sûrement passée là-bas. La majestueuse tour Eiffel, l’avenue des Champs-Elysées dite la plus belle du monde, son Arc de triomphe et ses enseignes de luxe, sa haute gastronomie, ses palaces… le Trocadéro et la splendeur de ses jardins et bassins, l’Alma créative… De la France on retient la capitale et les trésors, l’élégance. Je ne contredis pas ceux qui m’inventent des souvenirs, j’ai d’ailleurs plutôt tendance à encourager leur imagination, alors même que j’ai tout eu sauf une vie de rêve.

Je suis née le 29 février 1987. Je n’en garde bien sûr aucun souvenir, mais j’aime l’idée qu’il n’y ait de 02 février qu’une fois tous les quatre ans ; je peux prétendre vieillir moins vite. Est-ce que j’ai du mal à assumer mon âge ? En temps normal, non. Mais quand je vois la plupart des femmes de ma promotion en couple ou même mariées et parfois même mères, j’ai l’impression d’avoir presque manqué le coche… Puis je me raisonne en me souvenant de tout ce que j’ai déjà accompli jusque-là, de la carrière à laquelle je peux me consacrer pleinement tandis qu’elles mènent une pathétique existence de femmes au foyer.

IN FAMILY I TRUST ◈ Ma famille est un sujet compliqué. Pas difficile à aborder, non, juste compliqué. Pour résumer, j’ai deux pères, deux mères, une demi-sœur, un frère perdu dans la nature. Je suis née en France et, pendant 16 ans, j’ai cru que je tenais simplement plus de ma métisse de mère que de mon caucasien de père. Rien de bien énorme. J’ai le souvenir un peu flou de ce petit frère né alors que je n’avais que deux ans – mais de lui il ne me reste que des photographies, des coupures de journaux. Et la douleur de la perte, toujours présente bien qu’atténuée par le temps. Il n’a pas vécu très longtemps avec nous, seulement six ans avant de se retrouver sur le petit écran et mentionné dans les faits divers, parmi tous ces autres enfants qui disparaissent au quotidien. On ne l’a jamais retrouvé, et ça a été le début de la « fin » de ma famille telle que je l’avais toujours connue.


Il s’appelle Grégoire, mon père. Grégoire Moreau. Il a toujours été un irresponsable, jobeur ite lassé de ses postes et invétéré parieur, tout sauf apte à nourrir une famille, tandis que ma mère trimait d’arrache-pied pour nous permettre de joindre les deux bouts en fin de mois. Ma mère, elle, moitié coréenne moitié française, est tombée pour ses incroyables yeux bleus, les fossettes qui lui creusaient les joues et ses belles phrases. Tu parles d’une arnaque… Mon père est un sérieux branleur. Plus gamin et immature que lui il n’y a pas. Du plus loin que je m’en souvienne, il a toujours eu la manie de disparaître pour ne revenir que quand bon lui semblait. Et pourtant… pourtant je l’adore, vraiment. En France, il était l’heureux propriétaire d’une affaire florissante – un pressing – à l’emplacement idéal et aisément accessible, géré par un personnel qualifié – lui, mon oncle, le fils du voisin et moi. Notre vision du travail bien fait ? Des tenues impeccables mais surtout dépouillées de tout ce qu’elle pouvait avoir de précieux à leur arrivée. Cartons d’invitations à des soirées huppées, billets oubliés, bijoux précieux abimés fourrés précipitation dans une poche… parce que oui : on visait une clientèle riche ! Ma mère, elle, était contre, ce qui ne cessait de créer des frictions que mon père prenait bien sûr à la légère – on ne se refait pas. Lorsque mon frère a disparu, le fossé qui les séparait s’est encore creusé de façon considérable. Ils ont tenté de tout recommencer en changeant de ville, puis de pays, et c’est de cette manière que je me suis retrouvée en Corée du Sud à mes 8 ans…

BACK TO BLACK ◈ Ça n’a pas suffi à recoller les morceaux. Trop souvent seule avec sa peine, ma mère s’est rapprochée d’une collègue de travail qui est d’abord devenue son amie. Puis son amante. Oui, rien que ça ! Inutile de dire que j’ai très mal encaissé la nouvelle ! D’autant plus que ma belle-mère avait également une fille, avec laquelle le courant n’est pas du tout passé. Je leur en ai longtemps voulu, à toutes, parce qu’une fois que la nouvelle s’est répandue j’ai vécu un véritable cauchemar au quotidien : avoir deux mères n’est clairement pas aisé à assumer dans une cour d’école. Pour couronner le tout, je venais tout juste d’arriver et je faisais partie des boucs-émissaires : la nouvelle, la binoclarde, dents de fer, miss je sais-tout et j’en passe ; j’avais droit à ces quolibets en permanence, hormis lorsque les autres tentaient de m’emprunter mes copies pour décrocher une bonne note. Dommage pour eux, j’ai toujours été revancharde et jamais très prêteuse. Et à seulement huit ans j’avais des tonnes de raisons de leur en vouloir… les mioches peuvent être très cruels à cet âge. Pour une raison qui m’échappe, il y a pourtant eu quelqu’un pour tenter de mettre un frein à mon calvaire.

Enfin, ça ne m’a pas empêchée de quitter la Corée avec mon père après que le divorce ait été prononcé. On galéré. Enormément. Malgré ses promesses et sa bonne volonté, il n’était prêt à endosser le rôle. Il était égal à lui-même : tout sauf fiable. On a réussi à tenir le cap jusqu’à mes 12 ans, mais après… ça a été la dégringolade. Toujours plus accro aux jeux, toujours plus endetté, il nous a mis dans un pétrin monstre. Les créanciers et le proprio ne cessaient de frapper à la porte pour réclamer leur dû, mais j’étais toujours seule à l’intérieur pour écoper de leurs menaces. Parallèlement à l’école, j’ai commencé à enchaîner les jobs pour palier ses manquements, mais allez trouver quoi que ce soit de payant à cet âge…. Grégoire, lui, filait je ne savais où, revenait joyeusement mettre les pieds sous la table une fois par jour, puis repartait et passait régulièrement ses nuits dehors. Ça m’a « responsabilisée ». Les soirs à compter les sous, la satisfaction d’avoir réuni de quoi faire quelques courses décentes à défaut de pouvoir payer le loyer, les moments de joie après avoir décroché un nouveau petit boulot (prendre soin des fleurs ou de l’animal d’une voisine en vacances, laver des voitures, faire la lessive des habitants de l’immeuble, etc.), l’inquiétude, les semaines de privations, les longues heures passées dans le noir à faire semblant de ne pas être là, l’amoncellement des factures… jusqu’au jour où, en rentrant, j’ai trouvé la serrure ôtée, le logement vidé, nos affaires à moitié étalées dans le couloir et l’autre moitié vidée par la fenêtre dans la rue.

Des sans-abris, en France, on en trouve des tas. Partout. Absolument partout. Qui dans les parcs, qui sous les ponts, qui autours des bâtiments publics et des arbres… Mon père a fini par rentrer et on a fait comme les autres : on a rassemblé nos affaires dans deux gros sacs à dos et un caddie, et on s’est cherché une place. Il fallait tout le temps changer de squat, car les dettes n’avaient pas disparu en même temps que notre appart ; nos détracteurs se faisaient d’ailleurs de plus en plus virulents. A cette époque il nous a fallu nous débrouiller comme on le pouvait : vider quelques poches inconnues et étales sur le marché ou dans de petites boutiques, notamment.

A mes quinze ans, Grégoire a fini par avouer à ma mère qu’il n’était même pas capable de m’offrir un toit ; elle m’a alors forcée à rentrer en Corée.

DADDY LONG LEGS ◈ J’ai gardé ses lettres dans une boîte en métal. Une boîte à souvenirs qu’il m’avait lui-même offerte. Qui est ce « il » ? Un homme qui a fait une apparition dans mon enfance et a marqué ma vie entière. La première lettre, je l’ai récupérée un peu par hasard en me perchant sur la paillasse pour fouiller le courrier, par simple curiosité. Ma mère ne l’avait pas encore remarquée – elle ne me serait jamais parvenu sinon. A l’époque, je ne lisais pas le coréen : je savais seulement déchiffrer mon prénom. L’idée que quelqu’un, par-delà l’océan, m’ait rédigé une lettre dans la langue natale de ma mère m’a motivée à m’y intéresser ; il m’a fallu plusieurs semaines pour la déchiffrer, j’ai fini par en connaitre les sonorités par cœur avant même de pouvoir la comprendre. Et quelques mois plus tard j’y suis parvenue. Il disait s’appeler Sang Bong. Lie Sang Bong. Il disait apprendre à me connaitre, savoir ce qui me plaisait ou non, me lire lui parler de mes passions et partager les siennes avec moi ; il voulait qu’on devienne amis. Je ne me suis pas méfier – vous la connaissez, cette confiance naïve que manifestent trop  d’enfant quand on leur offre ce qu’ils n’ont pas forcément : l’acceptation. Moi, la métisse aux yeux bridés, je n’ai pas résisté à ce terme. « Amis ». Notre correspondance a duré des années, et... peu à peu, il m’a ouverte à un monde que je n’imaginais pas. Les mannequins des vitrines s’animaient sous mes yeux émerveillés, les textures des tenues, écharpes, la finesse du travail de leurs accessoires, tout cela me parlait de plus en plus. Je commençais à les distinguer au toucher, puis à l’œil. Les détails des coutures, largeur des mailles, l’alliance des teintes et des motifs, etc. Sang Bong développait mon esprit critique en me demandant mon avis, en complétant ses courriers avec des photos de modèles, de défilés…
Il m’a offert mon premier nécessaire à couture. J’ai volé des billets dans la caisse commune et cassé ma tirelire, appris à reproduire la signature de ma mère pour lui faire parvenir mes premiers essais.

Et puis, du jour au lendemain, Sang Bong a cessé de m’écrire. Mes lettres me revenaient sans avoir été ouvertes et de lui, plus la moindre réponse. J’avais 15 ans et je venais de rentrer en Corée, il était tout ce que j’avais de stable, repère invisible qui me motivait à tout traverser dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un avenir dans le monde de la mode. Il me voulait style comme lui, j’avais fini par découvrir par les média qu’il était un célèbre Créateur… Ou un faux ? Un simple usurpateur d’identité ? Impossible d’y croire : il parlait en véritable connaisseur, me parlait des stars avec lesquelles il collaborait avant même que les journaux ne les mentionne. J’étais émerveillée, il était mon mentor, mon modèle, et je n’avais pas la moindre idée de ce qui l’avait poussé à s’intéresser à moi. Le vide qu’il a laissé derrière lui a été douloureux, vraiment : j’avais terriblement besoin de lui à cette époque. Je me suis raccrochée aux vestiges de notre relation en m’évertuant à en apprendre toujours plus. Finalement, c’est le journalisme de mode qui m’est apparu comme une révélation, beaucoup plus que la création. Je voulais grandir de façon à l’épater et à me faire un nom ; je voulais qu’il me reconnaisse… je voulais qu’il me revienne, qu’il me rende cet indicible lien qui nous unissait indéniablement.

THE PLEDGE ◈ J’ai retrouvé avec « plaisir » ma mère, sa compagne et ma demi-sœur. Et honnêtement, je crois qu’on n’aurait jamais cessé de se faire la guerre sans une influence extérieure : Sun Hee. Une meilleure amie partagée entre deux ennemis, situation des plus compliquée ! Et pourtant elle s’est accrochée tant à l’une qu’à l’autre, nous a révélé des points communs qu’on se refusait à voir, nous a imposé un statut quo. On était trois paumées à l’époque. Ploucs, vraiment. Dénuées de style, parce qu’on n’osait tout simplement pas s’afficher avec ces tenues fashion qui nous plaisaient tant – et dans mon cas, parce que je n’avais pas les moyens de me le permettre. Pourtant, lassées d’être la risée des autres collégiens, on a tenté de se frayer une place parmi ces jeunes « au top » dont tout le monde s’arrachait la présence. Une catastrophe : on n’a pas fait long feu, nos fausses pièces d’identité ont été repérées d’emblées et on a fini sur le trottoir en moins de temps qu’il n’en fallait pour dire « ouf ». Inutile de dire que les autres ne nous ont pas loupées, et ont multiplié les moqueries, mais… ce soir-là, je ne le regrette pas, il a été un déclic. Un coup de fouet même ! Humiliées, on a passé un pacte avec la lune pour seul témoin : cette période « rebus » était terminée, définitivement. Tout devait changer.

GUESS YOU KISSED THE GIRLS AND MADE’EM CRY ◈ Même désargenté, on n’est pas obligé de manquer de style. J’avais reçu une « formation » personnalisée de l’un des meilleurs stylistes, j’ai donc commencé à customiser mes tenues. L’appareil dentaire avait eu pour effet positif de me garantir un sourire parfait et bien sûr, exit les coiffures ringardes, les lunettes inutiles, les gros sacs à dos à l’ancienne ! Mais le vrai bouleversement a été le retour de mon Daddy Long Legs dans ma vie. Je n’avais jamais cessé de le chercher, et c’est en découvrant que j’étais sur les traces de Lie Sang Bong que ma mère a gaffé. A vrai dire elle a littéralement crisé, m’a demandé « comment j’avais découvert la vérité à propos de mon père », « depuis quand », et ainsi de suite. Un discours qui semblait décousu au premier abord, irréel même, mais qui était teinté d’une crainte réelle. Trop réelle.
C’est de cette façon que j’ai compris que Grégoire n’était pas mon père ; que Lie Sang Bong m’avait cherchée pour garder des liens avec sa… fille. Je suis sa fille. J’ai traversé une période difficile, véritable déni, crise d’identité, et heureusement pour moi que j’étais solidement soutenue par Sunny et Bekah – comme aurais-je pu ne pas craquer, sans elle ? Le pire a été l’acceptation. Quand  j’ai tenté de contacter mon « géniteur », il n’avait rien de l’homme adorable dont le souvenir avait bercé mon enfance. Il était froid, distant, ne parlait que d’argent, évitait comme la peste tout contact avec moi. Sa dernière lettre ? Un simple mot m’annonçant que je pouvais avoir tout ce que je voulais, absolument tout. Qu’il me reconnaissait comme étant sa fille, légalement, mais qu’il ne souhaitait pas que l’on reste en contact. Plus que tout le reste, son rejet m’a terriblement déstabilisée.

A WOMAN’S WORTH ◈ Je me suis dédiée à ma carrière. Je savais précisément ce que je voulais faire, ce qui m’a permis de gagner un temps précieux. La Séoul National University tout d’abord, puis les stages, et la consécration : Velvet Dust. Il me reste du chemin à parcourir ; Chef de la rubrique fashion pendant un an, j’ai été placée à la tête des Breaking News tandis que le poste de Rédactrice en Chef m’était raflé sous le nez, rendez-vous compte ! Cela dit, je ne baisse certainement pas les bras, aucune chance pour ça. Des rumeurs courent par dizaines sur mon compte, même quand je tente d’être « sympathique », alors j’avoue ne plus faire beaucoup d’efforts. J’exècre le travail bâclé, les fautes, et je n’encaisse pas les « je ne sais pas le faire ». No way. Et si je réclame une information, je veux la recevoir dans la foulée. Que ça plaise ou non n’importe que peu : j’ai deux sœurs de cœur, un petit singe capucin âgé de 3 ans – Dolce, mon bébé (le seul que j’aime) ; et une carrière en plein ascension. Ma vie sociale ? J’aime m’amuser, faire la fête est une seconde nature chez moi, malgré la méfiance que j’inspire à ceux qui me voient sous un autre jour au travail. Mais il ne faut pas confondre métier, passe-temps et amitiés.


III • UNDER MY SKIN
« Citation perso »
Moi c'est Jean-Guy, je suis facteur, j'ai 58 ans et j'aime beaucoup les enfants... ah mais non je fais la présentation de Vanou la pédo modo là :siffle: call me Sy, Here, sy. j'ai fêté mes 16 ans pour la 5e fois et j'ai toutes mes dents, troooop cool je sais :rocknroll: 

crédits © tumblr


Dernière édition par Lie Ra Hael le Jeu 9 Jan - 15:12, édité 15 fois
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Lim Leo
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et l'actuelle je la dois à : saku
en rp j'suis le sosie de : kim jonghyun (shinee)
On me connait en tant que : bambino- bamboleo - leo chocolat
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : vingt-quatre ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses : [url=/t58-here-comes-the-hotstepper-leo]présa[/url] - [url=/t105-bamboleo-chocolat]liens[/url] - [url=/t84-lim-leo-82-58-7460-8931]phone[/url] - [url=/t85-cowabunga-on-gns-lim-leo]gns[/url]
mes journées sont bien remplies : officiellement stagiaire à vd, officieusement assistant de zane & esclave de saehwan
avis aux stalkeurs : [url=/t182-event-1-in-money-we-trust#1625]www[/url] w/ event
[url=/t176-chipeur-arrete-de-chiper]www[/url] w/ raph
[url=/t453-lehwan-plus-vite-que-ca#6920]www[/url] w/ saehwan
[url=/t387-what-the-hell-is-wrong-with-us-feat-leo]www[/url] w/ sunhee
[url=/t454-leoxeunhye-tu-me-dois-une-explication-non]www[/url] w/ eunhye checke ma to do list : ☑️ se faire un marathon tortues ninja avec les frangins
☐ demander sunhee en mariage
☐ dire à zane que j'ai jamais été son assistant attitré
☐ emmerder saehwan bien profond
☑️ chanter pour ceux qui sont loin de chez eux
MODO CROUTIS PUBIS ❝ bandole(r)o shock

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: tire la chasse perd ta chiasse
JUKEBOX: tragédie - gentleman

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l'esprit du loup est avec toi
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Lie Ra Hael
Les squelettes de son placard
ADMIN SHAMANE ❝ attention whore
Lie Ra Hael
tel un warrior j'ai débarqué le : 06/10/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 658
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4617 alors j'suis célèbre à ma façon: :
SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-left72 / 10072 / 100SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : disponible
j'ai même d'autres gl pour te plaire : sun hyo dae
et l'actuelle je la dois à : juno
en rp j'suis le sosie de : jung jessica
On me connait en tant que : Rachel (prénom d'usage), Sha (proches)
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 26 ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses : présentationliensphone & GNS
mes journées sont bien remplies : chef de rubrique à VD (breaking news)
avis aux stalkeurs : www (minsha)
www (shinael)
www (fengsha)
www (event 1)
www (rachid)

✎ prévu avec Bek & Sunshine
✎ prévu avec (partenaire)
✎ prévu avec (partenaire) checke ma to do list : ☑️

ADMIN SHAMANE ❝ attention whore
https://velvet-dust.forumgaming.fr/t226-sha-my-heels-and-iphone-a

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: ta citation du moment
JUKEBOX: KP ಶ dark horse

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Emstrang Gram, Bigà bigà ic calle Gram, Bure bure ic raede tan, Emstrang Gram :oue:  il le faut il le faut, que serait la grande prêtresse sans la force du loup !
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Hwang Bekah
Les squelettes de son placard
ADMIN DONATELLA ❝ attention whore
Hwang Bekah
tel un warrior j'ai débarqué le : 06/10/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 131
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4071 alors j'suis célèbre à ma façon: :
SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-left70 / 10070 / 100SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : dispopotame
j'ai même d'autres gl pour te plaire : ft. Im Yoona
et l'actuelle je la dois à : Nelliel
en rp j'suis le sosie de : Jung Soojung ( f(x) )
On me connait en tant que : Rebeccá (vrai prénom, italien)
Bekah
Queen Bee / Princess
Donna (ne cherchez pas à comprendre)
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 22 ans (va sur ses 23 ans)
Mais j'en ai déjà vécu des choses : [url=http://]fiche de présentation[/url]
mes journées sont bien remplies : Visionnaire chez Velvet Dust.
avis aux stalkeurs : www. Bekhyo
www. (blabla) ft. blabla
www. (blabla) ft. blabla checke ma to do list : - Acheter une nouvelle paire de Jimmy Cho
- Passer une semaine dans mon appartement à Rimini, Italy
- Ranger mes berets et retrouver le vert.
- Faire une séance de shopping à Mark & Spencer
- Me reteindre en rousse
- Eviter Seungho au possible.
- Partir à l'étranger avec mes sauces, Rachel et Sunny
- Me faire tatouer quelque chose de classe.
ADMIN DONATELLA ❝ attention whore

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: Si vous avez un rapport sexuel, vous courez le risque de mourir et les conséquences de la mort sont définitives
JUKEBOX: coldplay - paradise

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a ; tu me joues (puisque bien sûr je suis Jessica Jung )
love u babe :**:
Ah et tiens une baleine : .______________________.
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Sun Min Ki
Les squelettes de son placard
MODO MOUSE ❝ menu fretin
Sun Min Ki
tel un warrior j'ai débarqué le : 16/11/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 277
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4092 alors j'suis célèbre à ma façon: :
SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-left5 / 1005 / 100SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : open.
j'ai même d'autres gl pour te plaire : gabali sid
et l'actuelle je la dois à : saku.
en rp j'suis le sosie de : lee jong hyun, cn blue.
On me connait en tant que : mikki (nom d'usage), mickey (par les chieurs).
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : vingt-trois piges.
Mais j'en ai déjà vécu des choses : fiche de présentation
mes journées sont bien remplies : musicien au Styx + mafioso (larbin).
avis aux stalkeurs : www.minsha
www.shinki
www.event
www.mifa
www.daemin checke ma to do list : ☐ acheter une gibson
☑️ acheter un nouveau bonnet
☑️ mater la mère de shinie en sous-vêtements
☑️ draguer une rouquine
☐ câliner mum
☐ tirer les cheveux du neveu
☑️ tirer les cheveux de nana
☑️ espionner le dortoir des stripteaseuses
☐ faire les tâches de cette liste
MODO MOUSE ❝ menu fretin

Je suis unique
UN BONUS POUR TES BEAUX YEUX:
CITATION: throw it all away, throw it all away.
JUKEBOX: murda bizness ; iggy azalea.

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JE TE TROMBONE.
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Lie Ra Hael
Les squelettes de son placard
ADMIN SHAMANE ❝ attention whore
Lie Ra Hael
tel un warrior j'ai débarqué le : 06/10/2013
tema la secla, j'ai tant de messages : 658
et j'ai déjà la blinde de k₩ : 4617 alors j'suis célèbre à ma façon: :
SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-left72 / 10072 / 100SHA ◈ never a failure, always a lesson. 1390172709-right
Azi tu veux un rp ? je suis : disponible
j'ai même d'autres gl pour te plaire : sun hyo dae
et l'actuelle je la dois à : juno
en rp j'suis le sosie de : jung jessica
On me connait en tant que : Rachel (prénom d'usage), Sha (proches)
J'ai la vie d'vant moi, du haut d'mes : 26 ans
Mais j'en ai déjà vécu des choses : présentationliensphone & GNS
mes journées sont bien remplies : chef de rubrique à VD (breaking news)
avis aux stalkeurs : www (minsha)
www (shinael)
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✎ prévu avec (partenaire) checke ma to do list : ☑️

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CITATION: ta citation du moment
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#a #ILU2 bekah babyyy
je joue une VIP oui :wesh: han mais tu m'as fait une baleine blasée, même pas une jeobaleine o: enfin c'pas grave elle est swag :lilheart:

aaand je te cravate mon mickey mouse :hehe:
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