tenue. Il était encore assez tôt, la journée venait à peine de commencer mais j'avais l'impression d'être debout depuis plusieurs jours, sans m'être reposé une seule fois. Non, ce n'était pas une simple impression, c'était bien ce qui s'était passé. J'avais passé toute la nuit à l'extérieur, à trainer sans vraiment savoir ce que je voulais faire ou savoir où je voulais aller. Ce n'était pas la première fois que je faisais ce genre de choses, c'était même assez fréquent et bien que beaucoup de personnes trouvaient cela étrange, elles s'étaient rapidement habituées à mon comportement.

Je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit et la fatigue commençait déjà à se ressentir : alors que je marchais, mes paupières s'alourdissaient et avaient de plus en plus de mal à se soulever. J'aurais évidemment pu retourner chez moi et toute cette histoire aurait rapidement été réglée mais, je savais très bien que tout le boucan que j'aurais provoqué aurait réveillé la furie qui me servait de colocataire et elle m'aurait tout simplement arraché les yeux. C'est ainsi que je me retrouvais à trainer dans le quartier d'Apgujeong, un quartier très chic, peut-être trop pour une personne comme moi. Je faisais limite tâche dans un endroit comme celui-ci. Tout était resplendissant, des vitrines des différentes boutiques devant lesquelles je passais jusqu'à chaque décoration minutieusement pensée pour rendre ce quartier encore plus beau.

J'arrivais rapidement à la galerie marchande Galleria qui était en train de s'éveiller. Les portes principales de chaque boutique n'étaient pas encore ouvertes mais on pouvait voir à travers les vitrines les employés qui s'activaient déjà. Je passais rapidement devant la librairie dans laquelle je travaillais parfois (pour ne pas dire presque jamais) et comme toutes les autres boutiques, elle se préparait également pour l'ouverture. Je m'engouffrais dans un des nombreux ascenseurs et appuyais sur le bouton portant l'inscription « 5 » et après quelques minutes d'attente, je me retrouvais au dernier étage, celui réservé à la nourriture. Mais, je n'étais pas là pour manger mais plutôt trouver un endroit dans lequel je pourrais boire un bon café, histoire de me tenir un peu plus longtemps éveillé.

D'un pas nonchalant, j'entrais dans le premier café qui se proposait devant moi et, comme je m'y attendais, il était presque vide : seulement remplit par les employés et sûrement de quelques fonctionnaires qui profitaient de leurs dernières minutes avant de commencer leur journée de travail. « Un Caffè Americano, s'il vous plait ». L'employé hocha la tête et commença à taper frénétiquement sur son écran alors que je commençais déjà à sortir une carte bleue de mon porte-feuille. « Ah, oui, c'est vrai. Elle ne marche plus » murmurais-je à moi-même avant de la remettre à sa place initiale. Ça faisait peut-être un an que je me trouvais en Corée du Sud mais, je n'avais toujours pas réussi à perdre cette habitude : sortir mes cartes bleues pour n'importe quel de mes achats. Je soupirais longuement avant de sortir un billet (que j'avais gracieusement emprunté définitivement à ma colocataire) et le tendit à l'employé qui lui, me donna ce que j'avais commandé.

Alors que j'étais sur le point de m'assoir, je sentis soudainement quelque chose, non, quelqu'un me rentrer dedans. Légèrement irrité par ce qui venait de se passer, je me retournais pour faire face à cette personne. « On ne vous a jamais appris à regarder devant vous quand- » je ne terminais pas ma phrase, surpris par la personne qui se trouvait devant moi. Une personne que je n'aurais pas cru croiser ici. J'essayais rapidement de reprendre mes esprits et ne pas montrer que j'étais légèrement chamboulé par cette rencontre. « Campbell Sky. Le monde est petit à ce que je vois. Toujours autant intéressée par l'argent ? » Ce n'était peut-être pas la meilleure façon de commencer une discussion.

(je t'avais prévenu, c'est naze, sorry ;;
+ matte le titre pas poétique que j'ai pondu avec mon franglais minable /dead)

tenue. J'étais connu pour être une personne au tempérament calme et au sang froid. Une personne qui ne s'énervait jamais pour rien et prenait tout son temps pour prendre des décisions importantes. Mais peut-être qu'aujourd'hui mon caractère allait être durement mis à l'épreuve. La fatigue que je commençais à accumuler m'avait légèrement mis sur les nerfs et cette rencontre avec mon ex n'arrangeait rien. De tous les cafés qui existent dans cette capitale, combien y avait-il de chance que je tombe sur elle ? Je ne devais vraiment pas avoir de chance ; c'était bien la dernière personne que j'avais envie de voir. Je ne lui aurais sûrement pas adressé la parole si je l'avais aperçu de loin, j'aurais tout simplement continué mon chemin comme je l'avais fait jusqu'à maintenant. Mais il avait évidemment fallu que je l'ouvre.

« Tu sais très peu de choses visiblement, peut-être parce que tu es trop occupée à t'occuper de ta garde-robe ? Ou alors de ton maquillage  » je ne savais pas pourquoi j'avais dit ces mots aussi sèchement, Sky ne m'avait encore rien fait mais, c'était plus fort que moi. La rancune que j'avais accumulé contre elle pendant près d'un an était sur le point d'exploser mais, j'essayais de me contenir, ce n'était pas mon genre de réagir de la sorte. Mais l'entendre dire qu'elle n'a jamais été intéressée par l'argent des autres n'allait pas arranger les choses. C'était faux et je le savais très bien, sinon pourquoi serait-elle parti juste après avoir su que j'allais être déshérité ? Elle mentait. « Oui, fait croire ça à qui tu veux. Campbell Sky n'a jamais été intéressée par l'argent et ne le sera jamais. Mais oui  » dis-je ironiquement en la regardant d'un air supérieur. « Mauvais caractère ? Laisse-moi rire.  »

Je la regardais s'assoir à droite de la table et boire une gorgée de sa boisson. A ce moment-là, j'aurais très bien pu partir, je n'avais pas envie de passer la matinée à lui parler, elle me mettrait encore plus de mauvaise humeur. Mais d'un autre côté, je pouvais m'assoir avec elle et essayais de discuter. Peut-être que la discussion que nous aurions réussira à me divertir, assez longtemps jusqu'à ce que je trouve l'envie de rentrer chez moi. Je finis par poser mon Americano sur la table et m'assoir devant elle. « Quoi de neuf dans ma vie ?  » dis-je sur un ton assez irrité. Le faisait-elle exprès ou ne savait-elle réellement pas ma situation actuelle ? Je lâchais un petit rire, comme pour me moquer de ce qu'elle venait de dire. « Ça fait un an que je ne suis pas retourné en Chine et même si je voulais le faire, je me ferais directement renvoyer ici. » J'avais dit tout cela sur un ton détaché, comme si je m'en fichais et c'était le cas. Il était vrai que certaines choses de mon « ancienne » vie me manquait mais rien ne pouvait égaler la liberté que j'avais gagné. « Ah oui et comme j'ai été déshérité, je n'ai plus rien. Mais, ça, tu dois sûrement le savoir, n'est-ce pas ?  » J'avais insisté sur ces trois derniers mots et laissais pendant quelques instants le silence s'installer entre nous avant de reprendre ; « Tu baignes toujours dans l'argent, je suppose. Dans ton grand loft ou je ne sais quoi encore. Et j'ai cru comprendre que tu devenais de plus en plus célèbre, tu n'as pas encore pris la grosse tête ? Étonnant.  » Moi, énervé ? Non, pas du tout. Ou alors juste un peu.

tenue. Sky me tapait déjà sur le système. Sa façon de parler, sa manière de me regarder de la tête aux pieds, comme si elle me jugeait. Elle se croyait si supérieure que ça ? Comment avais-je fait pour me mettre en couple avec elle déjà ? Ah oui, à cause de ces foutus sentiments amoureux qui étaient nés entre nous. Si seulement j'avais connu sa vraie nature avant de sortir avec elle, je ne serais pas dans une telle situation. Mais il avait évidemment fallu que je succombe à son charme. Foutu coeur à deux balles. « Je ne suis pas quelqu'un de superficiel comme toi, le physique n'est pas la chose la plus importante pour moi. Je préfère le contenu au contenant » avais-je dis pour répondre à la pique qu'elle m'avait lancée. Mais je savais très bien qu'en faisant cela, Sky n'hésiterait pas à devenir plus méchante et mesquine. J'en avais déjà fait les frais dans le passé et à vrai dire, ce n'était pas une chose que j'avais envie d'expérimenter à nouveau, cependant, la situation était maintenant différente. Si elle me cherchait, je ne me gênerais pas pour lui répondre, quitte à me prendre une belle paire de claque à la fin. « Au début aussi j'y croyais. Je croyais que tu étais le genre de personne à être fière d'amasser elle-même sa fortune, de travailler dur pour ça mais, j'ai été assez longtemps avec toi pour savoir que c'est faux. » J'avais toujours eu envie de lui cracher ces mots, depuis notre rupture à vrai dire, et aujourd'hui était la bonne occasion de le faire. « Ou alors j'avais juste mauvais caractère avec toi. Mais, ce n'est pas comme si tu ne l'avais pas mérité. » Je lui accordais sourire extrêmement faux, comme satisfait par ce que je venais de dire et m'assis en face d'elle.

Les paroles qu'elle venait juste d'avoir à mon égard me mirent sur les nerfs. « Un collier autour de mon cou ? Une laisse ? » Elle me faisait bien rire. Je ravalais difficilement le flot de jurons qui était monté jusqu'à mes lèvres, me disant qu'elle ne devait attendre qu'une seule chose : que je me mette en colère. Mais, je n'allais pas entrer dans son jeu, du moins pas encore, j'étais bien trop mature pour ça. Cependant, ce que Sky venait de me dire me resta en travers de la gorge. Elle me connaissait assez bien pour savoir que ce sujet était sensible et s'amuser à le balancer sur la table de manière aussi désinvolte avait le don de me mettre sur les nerfs. J'expirais un grand coup, histoire de me détendre, avant de lui répondre. « Ton sens de l'humour c'est apparemment amélioré. Tu as lu ça sur les emballages de Carambar ? Ah non, pardon. Tu ne dois pas en manger, par peur de prendre du poids. Du coup, je ne pense pas que le muffin soit une bonne chose » dis-je en pointant le gâteau posé devant elle sur la table. « Ça va te retomber sur les hanches. » Un petit sourire sourire mesquin s'était dessiné sur mon visage alors que j'attrapais rapidement ma boisson et la portait à mes lèvres. Il était évident que Sky n'allait pas s'arrêter là et allait répliquer mais, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse comme si elle ne savait rien. Légèrement désemparé par ses paroles, il me fallut un moment pour retrouver mes esprits et lui rétorquer quelque chose, et d'un ton qui montrait que j'étais sûr de moi. « Oui, ils l'ont fait. Enfin, mon père l'a fait. Tu sais aussi bien que moi qu'il ne fait pas de menaces en l'air. Et ne fais pas comme si tu ne savais pas pourquoi. » J'avais très envie de lui faire ravaler cet air surpris qui était apparu sur son visage mais, je ne pouvais évidemment pas le faire, je serrais alors le poing sous la table, histoire de me contrôler. « Tu sais très bien que c'est toi la fautive dans cette histoire. » Enfin, c'était ce que je disais mais, mon ancienne relation avec Sky n'était pas la seule chose qui m'avait poussé à partir de chez moi, il y avait d'autres choses que je gardais pour moi-même. « A t'écouter, ta vie à l'air tellement ennuyante. Je te plains sincèrement. » Je lâchais un léger soupire et secouais la tête de gauche à droite comme pour montrer que j'étais désolé pour elle. Ce n'était bien sûr pas le cas mais, si j'avais l'occasion de me moquer d'elle, pourquoi ne le ferais-je pas ? « Sinon, j'ai une question qui me trotte dans la tête depuis tout à l'heure ... Comment va ta mère ? Ça fait un moment que je n'en entends plus parler. » Attaquons les sujets qui fâchent.

tenue. J'y étais peut-être allé un peu fort. Je n'avais pas réfléchi avant de parler et avait abordé des sujets qu'il fallait mieux éviter. Sky détestait que l'on parle de son physique et je l'avais fréquenté assez longtemps pour le savoir. Mais il fallait évidemment que je parle sous le coup de la colère et donc, sans réfléchir aux mots qui sortaient de ma bouche. Un léger sentiment de culpabilité parcourra mon corps entier mais, j'évitais soigneusement de le lui montrer, ce n'était pas le moment de paraître faible, surtout dans ce genre de discussion. « En tout cas, si je me suis mis en couple avec toi, ce n'était pas spécialement pour ton physique » murmurais-je doucement, dans l'espoir qu'elle n'est rien entendue. Je n'ajoutais rien de plus en ce qui concernait le physique de Sky même si j'étais conscient d'avoir abordé ce sujet en premier. J'allais peut-être apparaître comme lâche ou je ne sais quoi encore à ses yeux mais mon but n'était pas d'être méchant avec elle. Il n'y avait aucun intérêt pour moi de la blesser même si, je l'avoue, après ce qu'elle m'avait fait, elle mériterait bien que je me venge et que je lui en fasse baver un maximum.

Par contre, je n'allais pas me gêner en ce qui concernait sa soit-disant fortune qu'elle avait amassé seule. Elle pouvait me dire tout ce qu'elle voulait, je n'y croirais pas. Sky était attirée par l'argent et rien d'autre, cela se voyait, il n'y avait pas besoin de la connaître pour le savoir. Pour moi, c'était le genre de personnes qui ne pourraient jamais se passer de l'argent, qui ne sauraient pas quoi faire si, du jour au lendemain, se retrouvaient démuni de tout. Alors, il fallait bien qu'elle assure ses arrières non ? Peut-être croyait-elle que la roue pouvait tourner, qu'un jour ou l'autre elle se retrouverait dans le même cas que moi. « Tu auras beau dire ce que tu veux, Sky, je ne te croirais pas. Ton père a peut-être arrêté de te donner de l'argent mais, ne va pas me faire croire qu'il n'y a personne d'autre qui le fait. » Je restais campé sur mes positions, rien ne pouvait me faire changer d'avis : Sky ne devait pas sa fortune à elle-même mais bien à d'autres personnes.

« C'est vrai, tu n'étais pas la pire mais tu étais parfois vraiment invivable. » Même si j'étais en mauvais terme avec Sky, je ne pouvais pas me résoudre à dire qu'elle était la pire femme que j'avais rencontré. Il était vrai qu'à certain moment de notre relation, elle ne m'avait pas rendu la vie facile, même pas du tout. Pendant ces moments, je m'étais toujours demandé pourquoi je m'entêtais à rester avec elle. J'aurais très bien pu la larguer et tous mes problèmes auraient été réglés mais, bizarrement je ne l'avais jamais fait. J'aurais été libéré de tous ses caprices à deux balles, de ses petites crises de colère, en bref, de son sale caractère. Mais je n'avais jamais pensé que ce serait moi qui me ferais larguer dans toute cette histoire. A vrai dire, je ne m'y attendais pas du tout et ma fierté en avait pris un sale coup, assez pour que je n'essaie pas de lui courir après et de la reconquérir. Après ce qu'elle m'avait fait, il n'y avait aucune raison pour que je le fasse, elle m'avait largué et je devais m'y faire.

Sky s'amusait maintenant à dénigrer mon intelligence et je ne pouvais pas m'empêcher d'esquisser un petit sourire. C'était tellement bas, que je ne pouvais pas m'en empêcher. « Mon intelligence m'est utile dans des moments importants de ma vie, pas simplement pour choisir la paire de chaussure que je vais porter pour la journée. » Ces derniers mots visaient bien évidemment Sky, qui a mon avis devait bien passer un temps fou à réfléchir à quel genre de chaussures mettre alors qu'elle pouvait utiliser ce temps à faire autre chose. Superficielle jusqu'au bout. « Je n'ai pas mauvaise mémoire, c'est juste que je me fiche carrément que tu prennes du poids ou non. Ça ne me regarde pas et ... c'est surtout que j'en ai rien à faire. » J'avais envie de lui faire comprendre qu'elle n'était plus rien pour moi, que plus rien à son sujet ne m'intéressait. Elle aurait très bien pu me dire que son père avait fait faillite ou encore qu'elle était à la rue, je m'en fichais. Elle m'était indifférente et ne signifiait maintenant plus rien pour moi. Une ex, une simple ex parmi les autres. « C'est vrai et maintenant qu'il a appliqué ses menaces, tu es contente ? » Le rire qui sortit de sa bouche me transperça les oreilles, oui carrément. Je manquais déjà de sommeil alors entendre quelque chose d'aussi aiguë avait le don, en plus de m'énerver, de me donner mal à la tête. Je bus une gorgée de mon Americano, dans l'espoir de retarder le moment inévitable où ce foutu mal de crâne arriverait. «  Arrête de faire la victime, tu sais très bien que c'est parce que je t'aimais et que je voulais rester avec toi que j'ai été déshérité. Donc, oui, c'est ta faute. » Je ne pouvais pas être plus clair que ça et j'espérais bien que mes paroles allaient rentrer dans son esprit et y rester. J'en avais simplement marre qu'elle nie autant les faits.

« C'est vrai, je ne te crois pas. Je vais arrêter de te croire. » J'avais dit ces mots d'un air détaché et avais tourné mon regard vers la salle. Il y avait de plus en plus de personnes dans le café mais, je venais à peine de le remarquer. Certains d'entre eux nous lançaient des regards interrogateurs, peut-être avions-nous attiré leur attention avec notre « dispute » mais ça m'était égal. Alors que je tournais de nouveau mon visage vers Sky, je vis que celle-ci avait baissé sa tête vers le bas. Il ne fallut pas longtemps pour comprendre que les mots que j'avais prononcés sur sa mère l'avait blessé. Mais quel con. Je regrettais immédiatement ce que je venais de dire. Je savais très bien que c'était un sujet à éviter et, une nouvelle fois, écoutant seulement la rancune en moi, j'avais balancé ça comme si c'était normal. Mais bizarrement, la réaction de Sky ne me paru pas si désastreuse que ça. Je m'attendais à ce qu'elle me jette son café à la tête voire même à une bonne paire de claque mais non, elle souriait. Je n'arrivais pas à savoir si c'était faux ou pas mais, sa réaction me paraissait bien trop étrange, comme ses paroles. « Sky ... » murmurais-je avant de laisser un petit blanc s'installer, me laissant le temps de formuler ce qui me venait en tête, « si ce que je viens de dire t'as blessé, je m'en excuse. » Je savais ce que c'était de vivre sans sa mère, la mienne étant la plupart du temps en voyage d'affaire et je savais également que ce n'était pas un sujet que l'on pouvait aborder aussi facilement. Nous étions peut-être en froid, mais ce n'était pas une raison pour que je ne reconnaisse pas certaines de mes erreurs, notamment celle-ci.